Queer

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Clément : Dans un monde « pré-apocalyptique » qui ressemble furieusement au nôtre, Vincent doit mourir arrive à « montrer le côté nul de la violence » en faisant passer des frissons au rires et des rires aux frissons. À mi-chemin entre la comédie romantique, le road movie, et le film de zombie (oui, oui, tout ça à la fois), Stéphan Castang pose un regard aussi pessimiste qu’amusé sur un couple de personnages facilement attachant…

Ales : Vincent doit mourir est une excellente preuve que le sang a toute sa place au cinéma. Les scènes d’actions sont (très) bien réalisées, haletantes et présentent la violence sous toutes ses formes : thriller, comédie et romance, permettant à Karim Leklou de dévoiler aux spectateurs tous ses talents d’acteur. Le tout mène à un dénouement modeste et humain, mais surtout prometteur d’une très belle carrière pour Stephan Castang.

Rafik : L‘histoire est une métaphore qui pousse à son point le plus extrême l’amour et la haine à travers un prisme sociétal moderne au-delà des scènes d’horreur. J’y perçois une volonté de rendre compte des relations humaines dans une atmosphère apocalyptique absurde avec beaucoup d’humour.

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